kastagne
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Rezensionen31
Bewertung von kastagne
La première idée venant à l'esprit avant de visionner ce film est la suivante: casse gueule comme idée. Force est de constater que nous sommes pris par ce film. En rendant humains tous ces hommes, bien souvent tous des monstres,le film touche la ou il faut.A la fois intimiste mais avec des moyens,le film joue sur l'intime des personnages répondant à la machine guerrière, et sur l'intimité du bunker et l'holocauste environnant.Tous les acteurs sont épatants, sauf peut être l'acteur jouant Hitler: il lui manque un peu d'atrocité et de haine, mais ma conclusion explique l'impossibilité de tenir un tel rôle; il n'a souvent l'air que d'un vieil homme usé. Il dit à un instant: "désolé", mais je ne crois pas qu'Hilter est jamais voulu dire "pardon".En conclusion, je me demande quand même si l'on peut faire incarner à des acteurs des personnages de ce genre; le film allant encore augmenter la masse d'images d'Hitler, sans rien percer de son âme enténébrée.
La platitude est le mot qui décrit le mieux cette version du roman de Gaston Leroux. Susanna Foster a beau être mignonne, les bellâtres sont un peu dégarnis, les meilleurs étant partis à la guerre sans doute.Ce qui pourrait sauver ce film, qui oscille sans cesse entre bleuette, pseudo fantastique et opéra, ce sont justement ces morceaux d'opéra, qui nous permettent de voir de l'art. Sans ces séquences d'opéra, tout serait bien pale. Et encore, ce ne sont pas les meilleurs morceaux du répertoire.Je n'ai pas encore vu les autres versions filmées de ce roman, mais je ne resterai pas sur cette version, ni mauvaise, ni bonne.
Même si les références ne sont pas toujours connues pour un jeune français, Woody Allen arrive à nous intéresser à l'étude comportementale d'une famille juive banlieusarde new-yorkaise et de quelques autres personnages de ce tournant de 1940. On sent chez Woody Allen cet amour pour les chansons qu'il nous offre à écouter. tout est bien sur empreint de nostalgie, mais avec humour, sans regrets.Au détour d'un plan, on aperçoit même Tito Puente en chef d'orchestre.Comme d'habitude, les seconds rôles nous sont bien soignés et Woody Allen ne fait pas partie du générique, chose assez rare. Et oui , la radio a érté un rite de fondement de société,au même titre que la télévision, pour l'Amérique.